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Expression du nouveau style de la marque française, ce concept ravive la flamme dans le coeur des passionnés. Une couleur rouge vif, un style sans compromis, voilà qui exprime une certaine passion, pour ne pas dire émotion ! Le coupé sportif serait-il de retour chez Renault ? Si tel est le cas, ce serait sympa de l’appeler Alpine et de voir le Bleu France faire son grand retour !
Style sportif
Résolument sportif, ce concept aux portes en élytre affiche une musculature bien seyante. Une carrure évocatrice, soulignée par des bandes latérales à la couleur tranchante (du déjà vu sur l’Audi R8) pour se terminer sur un arrière tourmenté, mais tout aussi dynamique !
Electrique !
Bien évidemment, Renault oblige, le moteur est électrique et se situe en position centrale. Comme chez Lotus ! Il affiche une puissance de 150 chevaux pour un couple de 226 Nm. Des valeurs qui permettent à la belle d’atteindre les 100 km/h en 5 secondes et de pointer à 180 km/h. Traditionnel point faible de ce type de motorisation : l’autonomie ! Et de fait, ici encore, elle est limitée à 160 km. Pour recharger, trois possibilités : de manière standard, c’est-à-dire via une prise classique, ce qui prend 8 heures. Soit de façon plus rapide, via une prise de courant tri-phasé 400 V (les 80 % de la batterie sont alors rechargés en 20 minutes). Enfin, le mode le plus expéditif est le « Quick Drop », soit l’échange rapide de batteries.
Repris de la Formule 1, le Kers (récupération et stockage de l’énergie cinétique) permet au conducteur de disposer d’une réserve de puissance utilisable quand il le souhaite via une commande au volant.
Musique !
Une voiture de sport sans bande-son évocatrice est un café servi froid ? Vous redoutez le passage au « tout-électrique », craignant la disparition des mélopées mécaniques dans la nostalgie des livres d’histoire ? Renault pense comme vous… Raison pour laquelle le constructeur a développé avec l’IRCAM (l’Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique) la signature sonore de son modèle.
Les détails qui tuent !
Le tableau de bord affiche les « sensations de pilotage », au travers d’un affichage graphique synthétisant l’accélération et la vitesse enregistrées. La navigation s’opère via un écran tactile qui calcule l’itinéraire optimal en coordination avec l’agenda du conducteur. Enfin, un logiciel informe (divertit ?) le conducteur en le renseignant sur sa gestion de l’énergie via une interface façon jeu vidéo.
Style sportif
Résolument sportif, ce concept aux portes en élytre affiche une musculature bien seyante. Une carrure évocatrice, soulignée par des bandes latérales à la couleur tranchante (du déjà vu sur l’Audi R8) pour se terminer sur un arrière tourmenté, mais tout aussi dynamique !
Electrique !
Bien évidemment, Renault oblige, le moteur est électrique et se situe en position centrale. Comme chez Lotus ! Il affiche une puissance de 150 chevaux pour un couple de 226 Nm. Des valeurs qui permettent à la belle d’atteindre les 100 km/h en 5 secondes et de pointer à 180 km/h. Traditionnel point faible de ce type de motorisation : l’autonomie ! Et de fait, ici encore, elle est limitée à 160 km. Pour recharger, trois possibilités : de manière standard, c’est-à-dire via une prise classique, ce qui prend 8 heures. Soit de façon plus rapide, via une prise de courant tri-phasé 400 V (les 80 % de la batterie sont alors rechargés en 20 minutes). Enfin, le mode le plus expéditif est le « Quick Drop », soit l’échange rapide de batteries.
Repris de la Formule 1, le Kers (récupération et stockage de l’énergie cinétique) permet au conducteur de disposer d’une réserve de puissance utilisable quand il le souhaite via une commande au volant.
Musique !
Une voiture de sport sans bande-son évocatrice est un café servi froid ? Vous redoutez le passage au « tout-électrique », craignant la disparition des mélopées mécaniques dans la nostalgie des livres d’histoire ? Renault pense comme vous… Raison pour laquelle le constructeur a développé avec l’IRCAM (l’Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique) la signature sonore de son modèle.
Les détails qui tuent !
Le tableau de bord affiche les « sensations de pilotage », au travers d’un affichage graphique synthétisant l’accélération et la vitesse enregistrées. La navigation s’opère via un écran tactile qui calcule l’itinéraire optimal en coordination avec l’agenda du conducteur. Enfin, un logiciel informe (divertit ?) le conducteur en le renseignant sur sa gestion de l’énergie via une interface façon jeu vidéo.